mardi 13 janvier 2009

Critique de Streets of Rage


Dans les années 90 dans les rues de Metropol City, le mal se répend comme des sauterelles sur un champ de blé, la justice n'est plus qu'un trés vieux souvenir (comme les RTTs vous voyez ?). Les rues n'appartiennent qu'à des brigands ignorant la loi et le bon goût comme la bande des Dead Snake ou celui Des Satans des ruelles. Tout ces gangs sont dirigés par le parrain du crime Mr. X (non ce n'est pas un réalisateur de porno, monsieur s'il vous plait...). La police est débordé il n'arrive plus à gérer tout ces meurtres ,viols et chats coincés dans les arbres. Mais un espoir apparait ...


Un espoir apparait sous la forme de trois jeune gars dans le vent, ceux qui ont été chez les Castors Juniors et ont gagné le badge de survie dans un endroit hostile. Le maire dans la Metropol City les appele donc pour l'aider dans la racaille locale. Les trois héros acceptent car ils veulent faire régner la paix et gagner leur badge d'aide à la société, par contre boucler votre tache avant 16heures parce que maman a fait du nesquick et que vous allez rater les dessins annimés. Voila le commencement des rues de la rage.




Voila l'intro de ce jeu certes enjolivé mais l'ésprit est là, ce jeu est un des premiers Beat-Them-All ( Du latin Beatus,um,m qui désigne le fait de faire ravaler les dents à des méchants puis de leur donner un coup de bien dans les cacahouètes ) de la mégadrive. Mais que serait un jeu sans des héros aux cœurs purs prêt à défendre la veuve et l'orphelin ?



Voici notre dreamteam :

Axel Stone : Le héro, il est donc grand, beau, blond et taillé en V. C'est un personnage équilibré est relativement agréable à manier.
Blaze Fielding : La meuf elle aurait pu s'habiller en uniforme de policier sauf que non, ensemble avec mini jupe en cuir rouge moulant hypra sexy.
Adam Hunter : Le noir, car il en fallait un pour mettre une minorité, il est bien sûr sympa, rigole tout le temps, fais de la break dance.

Et c'est parti nos castors juniors partent à l'assaut de gang de sale punk sale (subtile pléonasme ha !), nos castors juniors ont un éventail de coup qui ne permet pas de s'ennuyer, poings, coups de pieds sauté, coups de crâne, suplex arrière pour leur mettre la tête sur le bitume. Mais un beat them all ce sont aussi des ennemis d'exception, on part du Punk drogué, à la travesti qui a un fouet, en passant par un ninja et un catcheur mexicain sans oublier Bozo le clown.
Histoire que nos castors défoncent du punk à plus haut débit (vous voyez le punks c'est comme si c'était une montagne et que vos poings était un barrage vous voyez (pour le lecteur lambda ceci est une blague privé n'essaye pas de comprendre.)) on a bien sûr des armes, on a le tesson de bouteille d'un alccol populaire, la barre de fer (qui peut tout faire) la grenade lacrymogène, le couteau ( attention ça coupe fort ! Prenez plutôt des sciceau à bouts ronds), bref on est pret a en découdre.

Voici le nouveau plan Sarkozy contre la racaille.

Mais que se passe t'il ? nos héros sont entourés d'une armée de punks, ninja ou travesti, que faire ? Il ne vous reste plus qu'à appeler le QG des castors juniors qui s'empressera d'ammener une voiture pour tirer des roquettes sur les méchants. Par contre nos castors juniors s'en sont pris pas la gueule, pas grave détruisez quelque cabine télephonique et vous trouverez des pommes ou des gigots (mais que font-ils là !).
Pour parler de la musique, je l'aime comme un fou comme un soldat comme une star de cinéma. Ces tons jazzy incroyables, elles vous resteront longtemps dans la tête et c'est pas plus mal.

Conclusion : Ce jeu est tout simplement génial seul, à deux c'est l'orgie. Si vous voulez l'acheter privéligez les brocantes parce que sur Ebay ça va piquer...


Oui elle moche mais je l'adore comme même son côté "ville au bord du gouffre" ne me laisse pas indifférent.

Image piqué subtilement à [Nes Pas ?]

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