mardi 30 novembre 2010

Taxi Driver

Martin Scorsese est un de ses réalisateurs que tout le monde connait aujourd'hui. En 1976, il réalise Taxi Driver, un de ses nombreux films aujourd'hui considéré comme culte. C'est à l'époque la seconde collaboration entre lui et Robert De Niro... qui ne sera bien sur pas la dernière.



L'histoire nous présente Travis Bickle. C'est un ex-marines, tout juste sorti de l'enfer qu'à pu lui "offrir" la guerre du Viêt Nam. Le conflit est fini depuis à peine un an. Travis n'est pas à l'aise dans cette société et ça se voit. On se demande parfois s'il n'en deviendrait pas déséquilibré. Il souffre d'insomnie. Et pour donner une utilité à ce temps perdu la nuit, il a choisit le métier qui lui allait le mieux: chauffeur de taxi, de nuit. Il roule, le plus souvent sans savoir réellement même pourquoi, et il est le seul à accepter volontiers de s'aventurer dans les coins les plus reculés du Bronx, craint par même Superman. Il aime aller au cinéma. Voir des films pornographiques dans la salle noir la plus sordide et glauque. Et tout ça, il à l'air d'en penser que c'est totalement normal.

La force principale du film est bien de nous mettre dans la tête de ce "héros", victime malgré lui des conséquences psychologiques de la guerre. Et à travers ses yeux, Scorsese immortalise le malaise de son pays. Revenons un peu à l'histoire. Entre le scandale du Watergate et la fin du conflit, l'opinion publique n'a plus confiance même en son gouvernement. Les soldats, d'abord encouragés par tous pour partir au front, sont montrés du doigt. Tout le monde l'a vu grâce aux médias, ce sont des meurtriers. L'Amérique en a marre, mais à présent, elle est perdue, atteint d'une forte paranoïa. Taxi Driver est donc avant tout, par le biais de Bickle, une véritable peinture de son pays.
La violence est ordinaire, ommi-présente, tout comme ce sentiment d'oppression et de solitude constant qui règne dans les rues de New York. C'est sombre et accompagné d'une misère urbaine qui prend tout son charme agrémentée de la BO.



En effet, les pistes musicales spécialement conçues font parties des meilleures. Bernard Herrmann, ça vous dit quelque chose ? Non ? Ah, je vais vite réparer ça. C'est un génie musical, celui qui a commencé à travailler sur le "petit" Citizen Kane pour enchaîner classiques sur classiques avant de recontrer le maître du suspens, Hitchcock. C'est avec lui que son talent ne fera que se confirmer, s'entremêlant à merveille avec les thématiques du réalisateur (Vertigo, Les Oiseaux, La Mort aux Trousses, Psychose... et bien trop d'autres !), et c'est surement ce qu'on retiendra le plus de lui. Mais en parallèle il opère sur des films avec le maître de l'animation des films fantastiques, Ray Harryhausen, qui trouvera sa meilleure inspiration accompagné du musicien. Puis les standards Hollywoodiens rejetteront peu à peu la musique classique mais Herrmann n'en a pas fini, et la boucle doit être bouclée. Le nouvel Hollywood nait quelques temps après ses dernières collaborations avec Hitchcock, et c'est là qu'il se redressera. Car malgré de très bons scores avec Truffaut, il est dit en perdition, et c'est De Palma qui le fera revivre une dernière fois.
Il meurt le soir du dernier jour d'enregistrement de Taxi Driver. Le film lui est dédié. Et la bande son est un chef-d'œuvre. La boucle est bouclée. La musique, parfois funèbre, parfois jazz, parfois légère, parfois plus lourde, dans tous les cas, accompagnera l'image avec un délice suprême. Jazzzy, désespérée, ou angoissante, on n'en restera que stupéfait, et le côté onirique déjà appuyé par l'image n'en deviendra que plus plaisant encore. 



Le premier rôle est bien sur tenu par De Niro. Comme toujours, il s'est investi à fond dans son rôle, cette fois-ci en travaillant réellement comme chauffeur de taxi douze heures par jour avant tournage. C'est aussi a lui qu'on doit l'improvisation d'une des répliques les plus cultes du 7ème art: "You talkin' me ?". Et puis, le rendu offre carrément un des personnages les plus profonds et intriguant qu'on ai eu la chance de voir.
Les seconds rôles ne sont pas en reste. Entre Harvey Keitel, Cybil Sherpherd, juste et touchante, c'est surement Jodie Foster qui impressionnera le plus. Très jeune à l'époque elle est LA révélation du film, et sa carrière ne faiblira pas.


Le métrage pousse peu à peu le spectateur dans la folie profonde de Travis. Et c'est ce qui aboutira à une réflexion des plus forte pour le spectateur, étourdi par la vision des faits du final. Scorsese signe là incontestablement un grand film. En plus d'être solide, c'est puissant, et intelligent. Parce que la réalisation et le montage ne sont pas étranger non plus à la force de Taxi Driver, avec un cadrage réfléchi au minimètre près. D'une finition atteinte seulement par les plus grands, on ne peut que se montrer baba.



- Are you talkin to me ? 
- Bah ouais, tu croyais que j'madressais à qui, au Pope ?


Le film mérite donc amplement sa Palme d'Or reçu au Festival de Cannes en 1976, avec ce portrait social de l'Amérique des années 70 offrant une scène finale mythique, une réplique culte, des acteurs parfaits, une bande son exceptionnelle, et une intelligence rare,... What Else ?


mercredi 24 novembre 2010

Qui est Lapin Malin ? L'Evangile selon Full_Korbe

On ne parle pas de ce Lapin Malin :

Mais de CE Lapin Malin :Lapin Malin n'est pas un lapin comme les autres. Si ça avait été le cas, il se serait appelé Lapin. Mais il est malin ! Lapin Malin s'appelait à l'origine Jeannot. Né dans l'Hérault, il a migré dans les garennes de la Garonne, près de Golfech. Cependant, il ignorait la radioactivité du site, à cause probablement de la centrale nucléaire (bien que des recherches soient encore).Au fil du temps, gangréné par la radioactivité, il a commencé à explorer le monde des Hommes, dit terrifiant, sale et surtout plein de microbes. Il a appris leur langue, découvert leur monde, bref, il s'est pourri en trainant aux alentours des écoles (non, c'est un lapin, pas un pédophile). Après être retourné dans son Hérault natal en détournant un train, tout en volant les vêtements du conducteur : un T-Shirt rouge pétard et un pseudo-jean fait dans la Chine de la Chine, il décida de former une rébellion formée de lapins, et de leurs terribles alliés, les hamsters.

Le plus dur fut de convaincre les rongeurs de se battre contre l'Homme. Celui-ci les nourrissait, leur donnait à boire... bref, pourquoi se rebeller ?
C'est là que le génie humain de Lapin Malin entra en action. Il expliqua par (A+B)² = A² +2AB + B² (ou comment réviser les identités remarquables avec Widiopedia) que les Hommes sont vilains, qu'ils violent les lapins, font des brochettes de hamsters et que d'ailleurs, si Grand Mère Jeannette est morte, c'est à cause des humains. Même si c'était de vieillesse.

Elevé en héros national, Lapin Malin aurait pu perdre la tête, et c'est ce qu'il fit, mais juste 1 soir (ou une semaine d'après les témoins), faisant des choses très étranges. On raconte qu'il a chanté de mystérieuses paroles, ressemblant à "OOH BAÏBI OOH BAÏBI OOOO IEAAAAAAA !"

Lapin Malin bourré

Les préparatifs furent longs. Il fallait contacter les éléments isolés, envoyer des émissaires chez des groupes plus lointains (dont les mystérieux castors ninjas), réunir les informations et surtout, faire avec les pertes.
L'Homme, même s'il se doutait de rien, arrivait à mettre des bâtons dans les roues de ce groupe, que ce soit en enlevant traitreusement ses membres pour en faire des "ohkilémignonlepetilapin" ou en les écrasant sans vergogne.
Après 4 ans (et donc le renouvellement complet du groupe, sauf les radioactifs), tout était en place. Leur plan était de s'emparer de la Préfecture de Montpellier, afin d'installer une machine machiavélique visant à contrôler les hommes par les ondes radio. Mais...

Lapin Malin avait oublié une chose pendant son apprentissage : la méfiance, que son second, le capitaine Cracky, connaissait sur le bout des doigts, pour être resté avec les cadres de la centrale de Golfech. Celui-ci le trahit traitreusement comme un traitre, en lui attachant un collier de ce genre :

La carotte fut finalement mangée par des fourmis (cela dura 8 mois), et sans leur génial chef, les conspirateurs furent rapidement défaits par les 3 chiens résidant aux alentours de la préfecture, les renforts des castors ninjas ayant été déployés 500 mètres trop loin, dans une crèche (ballot).
Lapin Malin, pendant sa semi-captivité, dut trouver une occupation. Un jour de pleine de lune, il alla vers un cinéma (visiblement, la vue d'un lapin habillé avec une carotte ne dérange pas les guicheteurs de ce cinéma), et vis ce film :
Qu'était-ce donc que cette horreur ?! Enfer et damnation, où était passé le génie de son plan ? Milles sabords, où sont passés ses fiers camarades, tous les préparatifs ?! POURQUOI !
Lapin Malin décida de se venger. Enfin... Comme il pouvait.
Il infiltra une maison, la ferma à clé et avec les loquets et l'équipa comme il put en mini-forteresse. Il s'empara de l'ordinateur, pirata les mots de passe et s'inscrit sur THE INTERNETZ. Personne ne pouvait voir et même croire que son pseudo témoignait de sa vraie vie. Il rédigea une critique cinglante de ce navet, précisant que "je n'avais pas du tout fait ça, il était clair que cette infiltration bien trop voyante et clinquante". Acclamé par les critiques des critiques, ce qui n'était qu'un outil de vengeance devient alors une façon de vivre.
Régulièrement, il passe au crible les films pour les honorer ou les briser. Mais tout cela n'est pas sans but.

Lapin Malin n'a pas oublié. Une fois qu'il sera célèbre, il pourra se venger de Cracky. Un jour.

mardi 23 novembre 2010

Rubber


- T'as aimé ?
- Ouais. 
- Pourquoi ? 
- No Reason. 

Si, en fait, il y a une raison sur ce coup-là. Le réalisateur, c'est Quentin Dupieux, aussi connu sous son nom de scène musicale Mr Oizio (c'est bien lui l'auteur des célèbres pubs pour Levi's avec la peluche jaune Flat Eric). Il est déjà le réalisateur de l'excellent Steak. Oui, vous savez, ce film qui divise autant, mais que, si on l'aborde correctement, on y voit alors plus aucune raison de ne pas l'aimer. Parce qu'en effet, si on le prend comme écrit sur l'affiche 'La nouvelle comédie d'Eric & Ramzy", on est loin du compte. Bref, là n'est pas le sujet.
Tourné avec un budget minuscule ("très largement en dessous des 1 millions d'euros"), et en 14 jours seulement, le résultat de ce nouveau film tourné cette fois-ci aux USA m'a tout simplement bluffé. J'espère que ce sera de même pour vous, parce que l'expérience vaut d'être vécue !


L'histoire se déroule dans un désert californien ponctué d'un petit motel, bref, l'endroit propice à la bonne vieille série B. C'est ici que des spectateurs assistent aux péripéties d'un pneu dénommé Robert, en le regardant avec des jumelles, du haut d'une colline. Ce pneu, être vivant à part entière, est un psychopathe qui tuera tous ceux qui oseront se mettre en travers de sa route. Comment, me demanderez-vous légitimement. Grâce à ses pouvoirs télépathiques, bien entendu.


WTF ?! 
Pourquoi ces spectateurs sont-ils là ?
- No Reason. 
Comment voient-ils toutes les aventures du pneu même dans des pièces avec l'aide de simples jumelles ?
- No Reason. 
Comment ce pneu fait-il pour rouler seul, et d'où vient son pouvoir télépathe ?
- No Reason. 
Pourquoi ce pneu s'appelle-t-il Robert ?
- No Reason.

Et je pourrais continuer encore longtemps...
Donc au cas où vous auriez encore des doutes, non, je ne me suis pas trompé. Le synopsis est complètement fou, comme le reste du film. Si vous aimez l'humour absurde, vous ne pourrez qu'être conquis, parce que c'est un véritable bijou dans ce domaine là. Et, comme pour montrer aux médisants de Steak qui ont retourné leurs vestes qu'il faut quand même tout leur expliquer, une scène, la première du film, vient expliquer le principe du "No Reason" aux spectateurs. Au moins on espèrera que le public ne reniera pas autant le film de ce réalisateur français qui est sur de très bonnes voies. Parce qu'en plus de ça, cette première scène est tout simplement géniale, je vais pas en dire plus pour pas spoiler, mais d'un ça annonce le ton, et de deux, c'est hilarant. Ce passage est déjà culte pour ma part, tout comme le film. 

Donc si vous m'avez bien suivi, Rubber est un slasher. Sauf qu'ici, le tueur est un pneu, et qu'il ne tue pas des ados puceaux (bon, c'est pas une obligation dans le genre, mais il faut avouer que c'est très fréquent). Et pourtant y'a d l'humour. Ouep. Et l'ambiance alors, ça donne quoi ? Un mélange de genre imbuvale ? Noon, je vous arrête tout de suite.
Lourde parfois, à la limite du film d'horreur, l'ambiance n'est pas si étrangère à celle de Steak. Et pourtant, malgré ces moments, c'est le drôle qui domine. Les images, adaptées avec brio à ce cocktail jamais vu, nous offrent des paysages (magnifiques) filmés avec un appareil photo Canon 5-D. Et Dupieux a bel et bien un talent pour l'image, parce que le rendu est tout simplement sublime. Rien que pour cette esthétique admirable donnant au film un côté presque poétique, le film est à voir au cinéma.

 La BO est elle aussi de la partie, et pas n'importe comment. Alternant sons de flûtes et musiques purement électros sorties d'un autre univers, tout est parfaitement placé, accompagnant l'image avec délice, et renforçant le délire burlesque maîtrisé avec plaisir. Certaines compositions sont tout simplement jouissives et les moments musicaux parfois exceptionnels (séquence de fin, attention !). Pour tous fans de musique électronique, ce score sera un réel bonheur pour vous oreilles, score d'ailleurs composé par Mr Oizio (le réalisateur donc) et Gaspard Augé, de chez Justice. Pas n'importe qui, donc.


L'ambiance et la réalisation sont donc tout simplement un réel bonheur extraterrestre qui sonne comme un énorme coup de fraîcheur, mais qu'en est-il du scénario, et du jeu d'acteur ? Bah là aussi, c'est vraiment bon. Parce que, ne vous inquiétez pas, le pneu n'est pas le seul personnage. Entre références et foutage de gueules à mourir de rire, les dialogues collent parfaitement au film, en se payant le luxe d'être énoncés par des acteurs exploitant ici tout leur talent, entre une Roxanne Mesquida qui, je sens, n'a pas fini de nous épater et un Stephen Spinella parfait.





Alors non, rassurez-vous, le film n'est pas qu'une bonne blague ne valant que pour son spitch de départ, comme pourront le dire certains médisants (et ils seront en nombre je pense, tellement le film ne risque pas de plaire à tous). Servi par un excellent casting, un scénario solide, une BO d'enfer, une image splendide, et un humour absurde ravageur auquel on ne peut résister, Rubber, réquisitoire dénonçant le formatage d'un cinéma actuel appartenant aux studios où les spectateurs veulent de l'action (on comprendra mieux après le visionnage du film), est un véritable enchantement euphorisant déjanté aussi expérimental que dominé qui doit se faire connaître, empli d'inventivité et de culot. Du cinéma Français, jeune, moderne, qui annonce une relève au point. J'adore.

A voir impérativement. ;)

dimanche 21 novembre 2010

Recue : The Embassady Mission



Soldats écoutez-moi. Vous l'escadron des furets noctambules, nous sommes dans une situation critique. L'ambassade de l'Ouzbékistan a été attaqué par des terroristes anarchistes d'extrême droite et là les choses s'embrouillent. Les gardes (au nombres de deux) n'était équipé que d'un pistolet à eau et de saucisse cocktail. Premier réflexe ils ont appliqué la technique A.L.B.E.C (Agite Les Bras Et Court). Les relations diplomatique entre l'Ouzbékistan et notre pays nous oblige à agir vite et bien.
Moi votre général je vous ai préparé un plan de libération que j'ai appelé astucieusement le plan C.U.L. (Calcul Utile de Libération).
Voici les parties du plan




Primo :


La première étape du plan C.U.L. est le plan P.U.T.E (Préparation Unilatéral de Tir Extérieur). Le soldats Kemco, Jumbo, Jean-Jacques se placeront dans des bâtiments de par et d'autres de l'ambassade. Ah aussi il est évident que l'ennemi ne nous laissera pas faire. Lors de votre mission vous verrez des spots lumineux. N'allez surtout pas dans le Halo de lumière, ça pourrait être malheureux. Déja vous vous décomposeriez si vous êtes un vampire, ou alors si vous ne mourrez pas ils vous tirons dessus avec des AK-47 avec des chargeurs modifiés pour accueillir des balles de diamètres 6 millimètres, les AK-47 sont légérement éraflé sur le coté et on des stickers "Hello Kitty !" sur la crosse, à part ça nous manquons de renseignement



Ah oui, lorsque le spot va se braquer sur vous et que les tireurs se mettent en joue n'oubliez les fondamentaux. La roulade d'abord de ce mouvement gracieux vous échapperez à une mort certaines ce qui est MAL. Technique numéro 2, ramper, bon déja vous aurez l'air ridicule et cela ne vous permettra d'éviter une mort certaines. Technique n°3 la plus sur se cacher dans les fougères de Madame Pichon et attendez que le temps passe. Et je vous répète ne mourez pas, vous avez vu le prix des uniformes ?



Carlito

Les tireurs embarqués, Kemco, Jumbo et Jean Jacques  devrons nettoyé la façade. Dés que vous voyez une silhouette, paf une bastos. C'est surement un méchant terroriste. Au pire c'est un civil et personne pourra prouver cette erreur et donc allez-y. Ah oui je pense que des tireurs expérimentés comme vous savez que la mire du sniper ne reste pas droite. Surtout avec ce préparkisonien de Kemco.
Ah aussi merci de casser toutes les vitres ça empêchera ceux qui s'infiltreront dans le bâtiment de salir leur uniformes merci.





Tertio Primo


Les façades ainsi nettoyé nos hommes peuvent descendre en rappel. Attention la corde est très fragile et je n'ai plus de budget pour acheter des hommes neuf. Enfoncer la vitre et ainsi entrer dans le bâtiment.
Ainsi débarqué, sortez votre pistolet à fléchette et dézinguer tout les méchants terroristes (ou votre belle mère, si elle s'y trouve). Attention parfois un méchant esquivera vos balles attendez qu'il se relève et canardez-le. Normalement vous ne devrez pas mettre pas beaucoup de temps à faire le ménage (ne tuez pas les otages par contre). Et là le monde libre sera sauvé. Que dieu vous bénisse.





Pour les détails sur la mission, il est possible que Mamie Suzette est mis sa radio à fond vous entendrez donc de la musique à base de "toutoutoutou" passez outre.
Au niveau du décor de la mission, la rue est sombre et particulièrement quelconque. Le bâtiment est typique des années 80 il est laid au possible et extrêmement répétitif.

Voila le briefing est fini. Que dieu vous bénisse. Et n'oubliez de ne pas dégoupillez vos grenades "juste pour rigolo". Confucius a dit sur ça "Grenade Dégouipillé, Enterrement annoncé"





Conclusion : Rescue the embassady mission est un jeu vraiment originale et totalement rigolo dans son déroulement. Vraiment un jeu sous noté, presque indispensable, presque.

vendredi 19 novembre 2010

Two weeks, one game : Eversion

Moi aussi je suis vivant ! Pour votre plus plaisir, je suis revenu d'entre les morts (j'ai niqué Satan au poker). Je ne vous raconterai ma passionnante histoire, comprenant trahison, amour, héroïsme et moults combats, notamment un épique duel à la rapière contre Claude François, qui ne voulait pas me laisser entrer au Valhalla. Enfin, je m'égare.

Si je reviens ici et maintenant, c'est pour vous faire découvrir (ou pas d'ailleurs) tout un tas de jeux trop peu connus par le grand public. Evidemment, chez les connaisseurs, ils sont beaucoup plus connus, mais bon, je fais une rubrique pour le grand public. Widiopedia se met à la sauce casual dirons les médisants.

Le principe de cette rubrique est très simple, mais pour les deux du fond (oui, n'avez vous jamais remarqué que les gens essayent de se mettre au fond pour croire qu'ils sont invisibles ? La seule manière d'être invisible, c'est de fermer les yeux, rappelez-vous), je vais quand même expliquer. Toutes les deux semaines, je présenterai un jeu flash / téléchargeable / gratuit / Payant, mais vu que je suis un gros radin, même si c'est payant, il y aura un bon contenu gratuit. Tous ces jeux ont été testés, approuvés et tatoués (ctb) par moi (pas ctb).

Two weeks, one game : Episode 1 : Eversion


http://zarat.us/tra/offline-games/eversion.html
(avouez que ça a plus de gueule que two girls, one cup).

Eversion est un jeu de plate-forme dont le scénario est on ne peut plus simpliste : la princesse a été enlevée, et un jeune premier rêvant de se la taper va tout tenter pour la libérer, sauf bien sur le plus simple : Un débarquement soutenus par 14 Bombardiers avec bombe atomique, missile nucléaire et, comme toujours, une troupe de tank.

Sauf que ce héros, ce n'est pas n'importe quel glandu avec une moustache et une salopette ringarde ! Non, c'est une fleur qui vit à Wonderland où tout est bleu et joyeux, où même les ennemis sont tous gentils !

Vous devrez donc traverser 7 (normalement) mondes pour libérer la tulipe. Vous croyez que ce sera une promenade de santé ? Cruelle erreur jeune naïf.

Eversion est basé sur le principe de... l'eversion. A certains endroits, vous pourrez changer la nature du monde qui vous entoure (vous pouvez d'ailleurs voir le niveau d'eversion à côté du numéro du monde). Ainsi, le gentil clanpin qui veut juste se promener devient progressivement maléfique. Mais ce n'est pas tout ! Certains blocs disparaissent ou apparaissent, les fleurs de jadis deviennent des plants morts puis des cactus tueurs (au contact hein)...
En fait, au fur et à mesure de votre aventure, le monde deviendra ténébreux, maléfique. Des mains jaillissent par surprise des plans d'eau en sifflant (j'ai enlevé le son).


En fait, c'est toute une ambiance qui se met en place. Là où les énigmes étaient faciles, là où tout est chatoyant, l'atmosphère se fait d'abord paresseuse puis inquiétante, pesante... Le danger menace à chaque instant, le petit raté n'est plus rattrapable et mène directement à la mort, les énigmes doivent être résolues, sous peine de mort également. Je pense qu'à mon avis, ce qui témoigne le plus de cette ambiance c'est qu'à deux moments, vous êtes poursuivis par une vague de matière noire. Mais alors que la première fois, c'était au mieux pressant, la deuxième, c'est dans un monde presque apocalyptique, avec des mains (comme celles plus haut) qui sortent de la vague au dessus de mares d'un liquide ressemblant presque à du sang.

En fait, vous êtes seuls. Cela fait peut être rien comme ça, mais je peux vous dire que la différence entre une contrée joyeuse et un truc aride, se ressent dans l'expérience du jeu, surtout avec les musiques qui accompagnent parfaitement les différentes phases du jeu.


En fait, Eversion est une expérience unique. Un jeu qui plonge progressivement dans les abimes du Mal (oui, on peut en parler je pense, même s'il ne gagne jamais) pour entrainer le joueur dans une ambiance parfaitement retranscrite.
Et puis... Si on récolte tous les gemmes des 7 mondes, on a accès à un nouveau... Enjoy.

samedi 13 novembre 2010

Sheika915 Vs Haruhi Suzumiya

Vous le savez peut être (ou pas) mais je ne suis pas un gros fan de manga. Ça a même tendance à me répugner. Tous ces mangas sans trop d'imagination où l'histoire n'avance jamais avec des nichons caches misères.
Oui je méprise tous ces amateurs de Japaniaiserie qui se touche sur du loli.





Exemple générique de fan de manga et d'animé.

Bref ma vie continuait normalement jusqu'à ce que je rencontre dans un quelconque forum une référence à une certaine Haruhi Suzumiya. Ce n'était pas la première fois que je voyais ce nom. Ce "truc" provoquait une certaines folie pour les amateurs de Japonaise se vomissant dans la bouche. J'aurais pu passer outre, mais vous me connaissez moi et mon esprit prométhéen je devais me renseigner.
Premier réflexe wikipedia. Paf pastèque je trouve. Je lis le synopsis. C'est bien à quoi je m'attendais. "Haruhi est une connasse de Japonaise qui aime trop foutre la merde avec ses potes, il y'a du nichon et surement du poil".
Bon ok, j'ai un peu brodé mais c'est plus marrant comme ça. Apparemment au début c'était un livre puis il a été adapté en Anime et Manga *baille*. Rien de bien transcendant. Mais voila ça serait  trahir votre confiance de ne pas continuer. Et puis si je ne me trompe le grand maître de la pensée, Confucius est un gros fan, sachant que je dois beaucoup à cet homme je me devais d'au moins jeter un oeil. Il doit bien avoir un raison d'aimer tant cette série à moins que ce soit le loli qui l'a attiré.
Enfin bref.

Je cherche le premier épisode en fr (et pas en vostfr allez vous faire foutre) je tombe sur une vidéo (légale donné par Kaze pour attirer le chalant (et ça a marché)). Bon ça a l'air de durer 20 minutes je peux toujours tenter. Bon lançons tout ça.

Première surprise l'histoire n'est pas raconté par la connasse avec un ruban dans les cheveux mais par un mec qui est apparemment un gros blasé de la vie. Mais vraiment genre le mec sans avenir comme un certain Habitant de Nérac. Bon on retrouve vite le décor habituel des Japoniaiseries. On a le lyçée japonais avec la sonnerie qui fait "tutututu tututu tu" et les écolières en minijupe/Cravate.
Apparemment le mec s'appelle Kyon, ce qui est un nom de merde, je vais l'appeler Jean-Jacques ça lui va mieux. Bref c'est le premier jour de Jean-Jacques au lycée et rencontre pour la tout première fois la célèbre pétasse au ruban orange. Qui est belle et bien une connasse, elle est un grosse asociale, multiplie les conneries et vote surement socialiste.

Émotions de Jean-Jacques


La Surprise
Le Disapointement
La Joie de vivre
La Panique


Bref elle est fui comme la peste (et à raison). Mais notre glandu de Jean Jacques se dit que Bowah essayons quand même d'esssayer de communiquer avec la connasse on vera ce que ça donne, en plus elle est pas mal bonne. Oui les hormones nous font parfois faire des choses stupides, franchement Jean-Jacques aurait pu se taper n'importe quelle pouffiasse de ce lycée qui font du 95C c'est à dire toutes.
Bref le contact passe entre Jean Jacques et la connasse au ruban, connasse en tant que connasse le martyrise sans que ça gène Jean Jacques (relation SM ?).
Bref la connasse décide de créer un club car, elle, comme Jean Jacques s'emmerde dans leur vie. Le Club servirait à donner du peps au gens et rendre leur vie moins morose. Il commence à recruter des gens, d'abord une gonzesse avec des lunettes (il en fallait bien une), une rousse à gros seins (quelqu'un a pensé a envoyer cet anime à Mario86 ?) et dans les épisodes qui suivront un mec qui est nouveau au lyçée. Je le considère comme un gros pédophile avec son sourire pervers constamment affiché sur son visage.

Bref. Voila j'ai fini le premier épisode. Je me dis que j'aimerai bien voir le 2 pour voir comment ça évolue...

*3 heures plus tard*

QUOI j'en suis déja à l'épisode 10 ? Bordel ce truc est addictif et je ne peux pas m'empêcher de continuer, la rousse à gros seins doit y être pour quelque chose (je comprends Mario86 du coup, chanceux va). Faut dire que tout est bien animé et trés bien dessiné. Surtout la série n'attendra pas pour dériver dans un délire SF totalement déjanté à base de zone fermés, de monstre géant et de voyage dans le temps (mais pas de tentacules)
"La mélancolie de Haruhi Suzumiya est un anime encourageant les personnes aux rêves et à l'accomplissement de chacun. Ce but est aidé par un construction de personnages avec des personnalité profonde" _Confucius

Enfin bref aussi question pour les fans de la série...


COMMENT ON ENLÈVE CES MUSIQUES DES GÉNÉRIQUE HORS DE LA TÊTE ? BORDEL ! La dernière fois que j'ai été aussi pris par un générique c'était la bande à picsou. Et puis merde ce générique de fin et sa chorégraphie de l'improbable ! "What've be seen can't be unseen" disait Confucius et il avait raison.

Je vous hais tous


En conclusion "La mélancolie de Haruhi Suzumiya" est un anime qui vaut un bon gros coup d'œil. Vous ne perdrez que du temps mais bon vu le public que j'ai, j'en déduis que vous avez beaucoup de temps à perdre (et comme ça vous irez pas dans des sites pédophiles)
Pour ceux qui veulent se faire contaminer :

Episode 1
Partie 1



Partie 2

mercredi 10 novembre 2010

Je ne suis pas encore mort

Je suis un con.

Oui et vous savez pourquoi ?
Car j'ai trahi ta confiance lecteur, tu devais t'attendre à un reportage sur le premier tracteur nucléaire et tu ne l'as pas eu. Je suis désolé.

Enfin je suis désolé quoi.

Bref. Pour ne pas trop poster inutile je vais filer quelque lien sur le meilleur du ouaib. Actuellement.
Commençons.

Tu mourras moins bete : Car il y'a aussi d'autre blog culturel que celui là. Blog BD de vulgarisation scientifique. Présenté la sexy professeur moustache (les femmes moustachus ont toujours fait battre mon cœur.


Le Blog de Paul Binocle : Le blog d'un belge. Et rien que ça c'en est déja drôle

Le Blog de Princesse Soso : Les profs sont des humains. Si c'est scientifiquement prouvé. Dans ce blog vous suivrez les (més)aventures du jeune prof d'anglais au collège contre ses némésis Bryane le gosse qui chie en cours, ou encore Séréna qui veut devenir péripatéticienne (qui en 6ème propose la pipe à 2€ et la baise à 5, si la présence d'hymen et l'absence de poil (et de nichon) ne vous gène pas allez-y.
Bref un blog magnifique drôle et redonne un peu de dignité au prof (aka les merdeux)

Le blog de la Dame du CDI : Pareil que ci-dessus mais starring the Lady of the CD-Ï qui affrontera de nombreux danger tel que Josiane son assistante quasiment analphabète, Satanas le principal ou encore la grande courge prof de français qui croit toujours que ses élèves (pardon apprenant sont des génies). Juste magnifique.

Martine Cover Generator : Là on touche à du gros, vous connaissez les albums Martine ? Fini les Martine à la Plage bienvenu à "Martine tente un Low Kick rotatif" ou "Martine refuse la Sodomie". Priceless.


Ashens : Réservé aux anglophones, le pimpant Stuart Ashens, comédien de son état nous fait des critiques d'objets ma foi assez... étrange trouvé à Poundland (la farfouille locale).

Dragon Ball Multiverse : Vous überkiffer Dragon Ball ? Vous avez toujours voulu qui était le plus fort entre Mystic Gohan et Gotenks SSJ3 ? Ou entre Cell et Kid Buu ? Ce Doujinshi (manga amateur) raconte l'histoire d'un tournoi interunivers où tout le monde se fout sur la gueule, bien dessiné. Juste top quoi.

[Nes Pas ?] : Mon site fétiche et fétichiste, le bonheur du retrogameur avec une communauté super sympa et l'adresse la plus drôle jamais créer jenesuis.net .

Faux Raccord : Émission d'Allociné sur les Faux Raccord (erreur de montage de film culte (pulp fiction) ou pas (Twillight).

Press Start Button : Site regroupant pas mal de testeur de JV français avec des vidéos assez cool.

Sur ce finit mon mini-article pour me déculpabiliser. Sur ceux à bientôt dans un an.